En discutant récemment avec une animatrice en milieu hospitalier à propos du projet des Zones de Partage, une question subtile mais fondamentale a émergé : faut-il privilégier les œuvres originales ou des copies (photocopies ou impressions) à déposer dans les étagères ?

Ce mardi 8 avril 2025 à 18h, je me suis rendu au complexe Michel Amand, à Buxerolles, pour participer à l’atelier “Foire aux projets”, organisé dans le cadre des Budgets participatifs de Poitiers.

Créer une Zone de Partage, ce n’est pas seulement installer une étagère et laisser le concept vivre de lui-même. C’est un projet dynamique qui demande du temps, de l’énergie et surtout… une équipe !

Ces dernières semaines, le projet des Zones de Partage a occupé toutes mes pensées.
Mais une question me taraudait : que faire d’ici avril, en attendant que les équipes techniques de Poitiers évaluent la faisabilité du projet ? Et surtout, comment occuper les longs mois avant octobre 2025, où les habitants voteront lors des Budgets Participatifs ?

Chaque projet naît d’un mélange d’influences, de rencontres et d’intuitions. Pour les Zones de Partage, trois sources d’inspiration ont particulièrement marqué mon cheminement. Trois idées fortes qui ont nourri l’esprit du projet et lui ont donné sa forme actuelle.

Pour que les Zones de Partage deviennent une réalité, il est essentiel d’estimer les coûts liés à leur mise en place et à leur fonctionnement. En me basant sur des recherches et des références existantes, voici une première évaluation des besoins financiers pour une Zone de Partage.

Lors d’un échange avec un maire, celui-ci m’a fait remarquer que, si l’idée des Zones de Partage est séduisante, elle risque de perdre son attrait avec le temps. Au début, la curiosité joue son rôle : les passants découvrent l’espace, explorent les œuvres disponibles, échangent avec enthousiasme… Mais ensuite ?

Si je veux mener à bien le projet des Zones de Partage, je dois clarifier sa promesse. Pas seulement pour mieux l’expliquer aux autres, mais surtout pour ne pas me disperser, pour garder une direction claire et solide.

Les Boîtes à Livres ont prouvé leur utilité : elles permettent aux habitants d’une ville de déposer et prendre librement des livres, favorisant ainsi l’accès à la lecture, le partage et la réutilisation. C’est un concept éco-responsable et pratique, qui évite le gaspillage et offre une seconde vie aux ouvrages.

Ma réflexion a fait un bond à l’instant… grâce à un passage d’un livre spirituel, Dialogues avec l’Ange (entretien 13 avec Lili). En le lisant, j’ai ressenti une prise de conscience soudaine, comme si ces mots s’adressaient directement à moi :